Du nu au deshabille chez les femmes, quelle evolution ?

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Afin de pouvoir faciliter la culture des hommes sur le plan intellectuel, plusieurs oeuvres sont rédigés par d’autres intellectuels. Il s’agit par exemple de l’ouvrage « De nues à déshabillées, les femmes modernes dans leur toilette » qui est un ouvrage d’Edgar Degas publié en 1886. Cet ouvrage consiste en un tableau représentant des femmes nues marchant aux toilettes. Cette exposition permet de voir le corps de la femme nue d’une manière unique à l’époque. Découvrez dans la suite de cet article, quelques aspects importants de cette histoire.

De la nudité à la modernité : évolution

Cette évolution des nus à la mode est marquée par la huitième exposition d’œuvres en mai 1886. C’est aussi la dernière dans le musee. Il montra au public un tableau de filles nues se baignant, se séchant ou se brossant les cheveux dans la salle de bain. La nudité n’est pas destinée à mettre en valeur le corps féminin. Son but est de montrer des filles occupées à la toilette. De plus, on peut voir que leurs vêtements ne sont pas loin d’eux. Le passionné d’art Degas se démarque de ses contemporains dont l’artiste Henri Gervex, Théophile Thoré de paris, Gustave Courbet, et bien d’autres, car il ne met pas la peinture sur les filles déshabillant des hommes dans la salle de bain. Gustave Coquiot a laissé entendre que ces modèles seraient des prostituées, des danseuses ou des bourgeoises prenant des douches pour faire l’amour ou se lavant les parties génitales après un rapport sexuel. Pour l’artiste, ce serait la raison pour laquelle ces filles d’orsay se couvraient en pastel.

Concernant l’adéquation de ces femmes nues à leur environnement

Les images sont très naturelles. En un coup des yeux nus, tout semblait si parfait dans le musee: forme, posture, etc. Félix Fénéon dit que cette oeuvre d’art de Degas n’est pas trop réaliste. Selon lui, lorsqu’une personne est observée, elle change de comportement et cela est très perceptible. Cependant, Edgar l’écrivain ne reproduit donc pas fidèlement les oeuvres. Joris-Karl d’orsay, grand fan du passionné d’art Degas et de pastel, insiste sur l’importance du cadrage dans l’émotion suscitée par son oeuvre. Ceux-ci se concentrent un peu trop sur la femme. Selon lui, il y aura un manque de mobilier et d’accessoires de décoration, surtout à paris.

Qu’en est-il de la composition, du design, des couleurs et des textures ?

A cet égard, le passionné d’art ne s’attarde pas à mettre la peinture sur ses toiles avec un côté pittoresque des scènes. Il mise sur la composition en rime ou plutôt sur le contraste, comme les fauteuils du fauteuil mettant en valeur le corps plat et replié que l’on voit sur la photo de femme s’essuyant les pieds juste après avoir pris sa douche. La nature morte accentue bien plus les courbes que les couleurs de la femme accroupie. Les dessins et les couleurs sont très réalistes dans le musee. Les jeux de lumière sont parfaitement respectés dans le musee, que ce soit sur la peau de la fille ou dans l’espace où se déroule l’histoire. Au contraire, le corps est davantage apprécié. Vous pouvez voir les baies éclairer les scènes. 

 

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